L'usage des jours (livres, poésie, voyages, journal, impressions...)
En langage de presse, on appelle cela des marronniers. Et ça n'aura échappé à personne, ils ne leur a fallu que quelques heures pour éclipser les sapins, le houx et le gui. Un peu partout à la Une, les journaux se paient en effet un air de déjà vu, en...
Lire la suiteRas-su-rés! Oui, nous voilà rassurés, n'ayons pas peur du mot. Rassurés, tranquilles, peinards. Ouf, on va enfin pouvoir renoncer à nos anxiolytiques favoris. Quoi, la nouvelle vous a échappé? Vous n'étiez donc pas devant votre petit écran le soir de...
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Donc, ça y est, c'est la dernière. Picorée, becquetée, bouffée jusqu'à l'utime miette, l'année 2010. Dans l'écuelle à souvenirs, il ne restera guère, ce soir, qu'un bêtisier idiot sur une chaîne, une retrospective burlesque ailleurs et les voeux du Président...
Lire la suiteOn savait, au moins depuis que les guerres existent, qu'on pouvait mourir pour des prunes. On sait maintenant qu'on peut être sacrifié, en temps de paix, pour une truffe. L'autre jour, un agriculteur de Grignan a en effet tiré sur un supposé voleur de...
Lire la suiteAinsi donc, une fois de plus, la neige a fait salles (d'embarquement) combles à Roissy. Tout un peuple de Robinsons des tarmacs a dû bivouaquer en remâchant sa colère et en attendant le dégel. Information au compte-gouttes, bagages aux oubliettes, valises...
Lire la suiteJadis, il tombait délicieusement des flocons. Aujourd'hui, on attend avec angoisse les "épisodes neigeux". A chaque époque son langage. Celui de notre enfance avait la fraîcheur des saisons et l'authenticité de la raison. Celui des élites actuelles reflète...
Lire la suiteC'est que du bonheur, cette soudaine réconciliation familiale à la veille de Noël. Voilà, en effet que les deux plus célèbres crêpeuses de chignon de la planète millardaire se serrent désormais la louche et se bécotent comme si de rien n'était. On ne...
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